Ghassan Faïdi est né en Irak, à Bassorah – la Venise de l’orient – d’un père architecte et d’une mère couturière.
« J’ai fait mes études à l’institut des beaux arts de Bagdad puis à l’académie des beaux arts de cette même ville. Durant ces années, je travaillais comme dessinateur dans un journal « l’opinion de Bagdad » en langue française. Départ à Paris en 1974, admis aux beaux arts de Paris. Pour financer mes études, je jouais dans le métro de l’oud (luth oriental) ; Un an plus tard, je commence à dessiner des portraits place du tertre à Montmartre où je travaille encore à ce jour ; Pour moi , c’était un lieu marqué du souvenir des peintres importants, tels Picasso, Modigliani, Utrillo et bien d’autres … Expositions –
J’ai exposé au Moyen Orient (Syrie, Liban, Irak) en Suisse, Belgique, Norvège, Angleterre, Danemark et dans de nombreuses villes de France dont Paris. Plusieurs musées (Musée de Saint Ouen, Musée des Arte Matanzas à Cuba) possèdent ses toiles
Expositions personnelles :
Galerie Madone Laval Galerie Montmartre aux Carroz d’Arâches
Maison des arts de Beaulieu sous la Roche
Hôtle de la godeline à Angers
Salon de Thouars ;.. invité d’honneur
Maison culturelle itkienne à Copenhague
Maison de quartier de la Roche sur Yon
Galerie atelier à Angles
Plusieurs musées ( Saint Ouen … Musée des Arte Matanzas à Cubqa possèdent ses toiles
Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre.
« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera ,moins l’esprit.