Brigid Watson est une peintre abstraite et peint à l’huile et elle a grandi à Kent, dans l’Ohio et est diplômée de l’École du Museum of Arts de Boston et de l’Université Tufts.
Elle a obtenu une maîtrise à Venise, en Italie, auprès de l’Université de New York.
Elle a exposé à Boston, Provincetown, Denver, Los Angeles, en Italie et à Toronto. Elle est représentée par une galerie en Caroline du Nord.
Son travail se caractérise par des surfaces fortement empâtées et une utilisation très personnelle de la couleur.
Elle explore souvent les tendances de la couleur et la manière dont elles reflètent les constructions
sociales telles que l’anxiété, la liberté et le pouvoir. Elle constate que les couleurs dominantes dans la société contemporaine agissent comme des baromètres du climat social. De même, les couleurs du monde naturel sont des baromètres du stress environnemental et des changements climatiques.
Parfois, ces mondes se connectent. Notre inquiétude, par exemple, à propos du changement climatique. Qu’elle en serait la couleur ?
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Brigid Watson is an abstract oil painter. She grew up in Kent, Ohio.
She has undergraduate degrees from The School of the Museum of Arts, Boston and Tufts University. She obtained a Masters degree in Venice,
Italy through New York University. She has been in shows in Boston, Provincetown, Denver, Los Angeles, Italy, and Toronto. She is represented by a gallery in North Carolina.
Her work is characterized by heavily impastoed surfaces and a highly personal use of color. She often explores color trends and how they reflect social constructs such as anxiety, freedom, and power. For example, colors prominent in contemporary society act as barometers of the social climate. Likewise, colors in the natural world are barometers of environmental stress and change in climate. Sometimes these worlds connect. We have anxiety, for example, about climate change. What color is that ?
Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre.
« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera ,moins l’esprit.
