Stève Michelin

Né à Sedan (France) prés de Charleville la ville de Rimbaud, là ou je prenais le train pour aller retrouver
ma grand-mère, j’ai grandi en Mauricie (Québec) partageant les ruelles, les bois, les sports de la région. Pianiste compositeur de musique contemporaine, homme de foi donc du vivace de la nature (voilure de l’invisible). N’étant pas un poète de la revendication ou plutôt s’il y a revendication, c’est celle de relier le sujet pensant et aimant à la chose que l’on questionne. Père de deux enfants et par le fait même, voire à rebours, l’histoire de la nature humaine jusqu’au Père se retirant devant l’Homme adolescent, préférant s’abreuver aux eaux usées qu’aux sources profondes, parce que celles-ci ne sont pas visibles au premier coup d’oeil….
Comme je l’avais déjà écrit lors d’une précédente critique de poésie, et malgré le fait que j’écris beaucoup de poésie, j’en lis très peu. Toutefois, lorsque j’ai la chance de le faire, je le fais avec un plaisir assuré.
Stève Michelin est un poète né à Sedan, en France, mais qui a grandi au Québec. Il m’a contacté via les réseaux sociaux afin de me proposer de lire et de découvrir son univers poétique via son recueil Comment retenir un dieu qui passe.
J’ai d’abord été séduit par ce magnifique livre-objet. On sent que l’auteur voulait faire les choses différemment, à sa manière et ainsi offrir un recueil ou les gens aurait envie de plonger dans son univers. Un univers rempli de rumeurs, de rumeurs intérieures oserait-je dire.
Contact : smichelin2003@yahoo.ca