Photographe autodidacte, Martine Roulet découvre en 1999 au Dakota du Sud, la magie des grands espaces et les descendants de ceux qui ont marqué l’histoire de l’Ouest Sauvage.
L’authenticité qui se dégage de ces hommes et femmes au quotidien rude va de paire avec leur sens des valeurs humaines, morales et de leur respect de la nature et des traditions. Pour honorer ces « gardiens de l’Ouest Eternel » qui luttent pour préserver et perpétuer les enseignements de leurs ancêtres, elle commence à exposer en 2012, les instants de vie capturés au fil de ses séjours chez les Indiens Lakotas et les Cowboys.
Elle a participé à de nombreuses manifestations et festivals sur le thème Western, où elle a également partagé sa passion et ses connaissances lors de conférences. Elle écrit aussi des articles pour le magazine français trimestriel American Legend.
Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre.
« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera ,moins l’esprit.