Patrick Arduen
Depuis l’envol du « Pigeon Voyageur » en 2007, la boîte vocale a propagé les strophes du
poète aux cinq coins de la Bretagne et parfois au-delà jusqu’au lointain Sénégal, tressées
dans le filigrane musical des concertina, guitare, djumbé, harpe et kora…
Et le deus ex machina de l’internet a relayé l’écho de sa voix sur d’autres longueurs
d’onde, avec l’oeil curieux du Nikon pour sublimer la beauté du monde…
Mais après la trilogie des Bestiaire, Humanitaire et Plantaire, le temps est revenu
d’imprimer la parole vive comme une eau vive, et cette centaine de nouveaux
poèmes exprime ici la brûlure, l’espièglerie, la passion et la sérénité. Que ce
voyage soit un partage ! Que ces messages soient aussi votre voyage !