5 avis pour Galerie de l’or du temps n°192 – Claire Hourlier : “de vagabondages en vague abondante”
Note 5 sur 5
Sylvia CADOU–
Non, le vagabondage de Claire n’est pas un délit. C’est un état d’âme et d’humeur. C’est le “mood” à la mode de Claire. Il faut arpenter son livre, compulsivement, s’arrêter sur un texte, lire puis relire un poème, sourire sur une anecdote. Elle nous fait déambuler le long de l’Erdre, flâner dans un parc, paresser avec un bol entre les mains, musarder avec une valise à roulettes. Merci, Claire, je t’attendais au détour d’un chemin, te voilà au rendez-vous.
Note 5 sur 5
Michelle Itic–
Je me régale, jolie Claire, j’aime ton style…Sensible et sensuel, spontané et sincère, spirituel et savoureux 🌺… Tout toi, quoi!
Note 5 sur 5
Karine G–
Une belle balade de la vie que nous offre Claire. Caresser le temps, les instants, les rencontres …qui vient aussi m’interroger, m’intérioriser lors d’une pause poétique. Et quel beau livre de fond et de forme qu’on a envie de toucher, d’être touché. Quel cadeau ! Merci.
Note 5 sur 5
Clair CAILLON–
Claire a écrit.
Claire a posé ses pieds sur les étoiles.
Claire a mis ses mots dans son livre-sac-cœur .
Le brin d’herbe brin d’homme.
L’homme-femme, l’être.
L’eau du haut, sur le pavé de la rue, le ru.
Tout se pense en mots, mots qui pansent nos maux,
étoiles de fleurs, rêves éveillés, étonnements.
Claire a déambulé
Et ces mots ont tintinnabulé.
Conciliabules, conciliantes bulles,
Si liantes bulles.
La cloche a sonné,
Claire a couché ses mots
sur les blanches pages, doux voiles couvrant,
couvertures de ses mmmmmurmures.
Claire a attrapé ses rêves et les a doucement roulé en cœurs dans son sac-livre.
Claire a écouté, regardé, gardé, senti, ressenti, est retournée, s’est retournée.
Et Claire nous a donné…
Note 5 sur 5
CARLES SEBASTIEN–
J’aime lire les mots de Claire, une écriture subtile de l’âme, une voyage des mots entre poésie et rencontres.
Une invitation à cette réflexion profonde qui manque cruellement à notre société.
Une invitation à l’éveil, à l’observation du sens, des sens.
Restons nous même, c’est déjà bien!
Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre.
« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera ,moins l’esprit.
Sylvia CADOU –
Non, le vagabondage de Claire n’est pas un délit. C’est un état d’âme et d’humeur. C’est le “mood” à la mode de Claire. Il faut arpenter son livre, compulsivement, s’arrêter sur un texte, lire puis relire un poème, sourire sur une anecdote. Elle nous fait déambuler le long de l’Erdre, flâner dans un parc, paresser avec un bol entre les mains, musarder avec une valise à roulettes. Merci, Claire, je t’attendais au détour d’un chemin, te voilà au rendez-vous.
Michelle Itic –
Je me régale, jolie Claire, j’aime ton style…Sensible et sensuel, spontané et sincère, spirituel et savoureux 🌺… Tout toi, quoi!
Karine G –
Une belle balade de la vie que nous offre Claire. Caresser le temps, les instants, les rencontres …qui vient aussi m’interroger, m’intérioriser lors d’une pause poétique. Et quel beau livre de fond et de forme qu’on a envie de toucher, d’être touché. Quel cadeau ! Merci.
Clair CAILLON –
Claire a écrit.
Claire a posé ses pieds sur les étoiles.
Claire a mis ses mots dans son livre-sac-cœur .
Le brin d’herbe brin d’homme.
L’homme-femme, l’être.
L’eau du haut, sur le pavé de la rue, le ru.
Tout se pense en mots, mots qui pansent nos maux,
étoiles de fleurs, rêves éveillés, étonnements.
Claire a déambulé
Et ces mots ont tintinnabulé.
Conciliabules, conciliantes bulles,
Si liantes bulles.
La cloche a sonné,
Claire a couché ses mots
sur les blanches pages, doux voiles couvrant,
couvertures de ses mmmmmurmures.
Claire a attrapé ses rêves et les a doucement roulé en cœurs dans son sac-livre.
Claire a écouté, regardé, gardé, senti, ressenti, est retournée, s’est retournée.
Et Claire nous a donné…
CARLES SEBASTIEN –
J’aime lire les mots de Claire, une écriture subtile de l’âme, une voyage des mots entre poésie et rencontres.
Une invitation à cette réflexion profonde qui manque cruellement à notre société.
Une invitation à l’éveil, à l’observation du sens, des sens.
Restons nous même, c’est déjà bien!