“Le jockey perdu et autres nouvelles” de Jean -Louis BERDOT, illustré par Marie T. Roche
Est-ce mon émerveillement pour le système digestif des ruminants ?
Je ne sais.
Toujours est-il que j’ai éprouvé un certain engouement à relire des nouvelles écrites dans les années 80 et exhumées d’une cave trop longtemps délaissée.
Bien sûr la mémoire est sélective. Je ne me souviens plus très bien du contexte dans lequel je les ai écrites. Elles batifolent dans ma tête sans chronologie et sans socle. Leur point commun : une inspiration d’essence surréaliste, tendance abracadabrantesque.
Pourtant, comme on dit de l’oeuvre d’un peintre qu’elle témoigne de son époque, ces nouvelles portent trace de problématiques et de slogans contemporains de ma jeunesse : rénovation urbaine, agriculture industrielle, commercialisation du sport, « orwellisation » de la société, utopies et solidarités, « la femme est l’avenir de l’homme »…
Quarante ans plus tard, quel écho reste-t-il de ces Abracadabrances 80 ?
J. -L. Berdot
Au premier abord, ce qui frappe à la lecture des nouvelles de Jean-Louis Berdot, c’est le style. Un style qui d’emblée donne le ton à toutes ses histoires par une impression d’irréalité…
Les oeuvres de Marie T. Roche m’intriguent et me fascinent. Dans sa peinture apparemment abstraite, j’aime reconnaître des formes, des silhouettes, des configurations…
Site internet Marie T. Roche : https://www.singulart.com/fr/artiste/marie-t-roche-21659
LES RÉALITÉS DU CINÉMA DOCUMENTAIRE – JEAN-LOUIS BERDOT : https://www.canal-u.tv/chaines/universite-paris-diderot/13min-les-realites-du-cinema-documentaire-jean-louis-berdot