Note de lecture de Dominique Zinenberg sur Hors Cadre (Récits) de Mireille Diaz Florian
Louons d’abord le travail de l’éditeur qui apporte un soin de passionné à chacun des livres d’artiste qu’il publie. Sobriété, artisanat, couleur bistre du papier, typographie élégante et mise en valeur des tableaux. Merci donc à Luc Vidal qui offre par ailleurs une Postface aux six récits de Mireille Diaz Florian.
Avec Hors Cadre, Mireille Diaz Florian compose des récits envoûtants à même la chair particulière de chaque tableau choisi. La première de couverture est la reproduction partielle du tableau de Francisco de Zurbaràn, Santa Casilda que l’on retrouvera dans sa totalité avant la cinquième nouvelle du recueil à savoir « Alcazar ».
Le recueil s’ouvre avec « La Chambre » de Vincent Van Gogh : ce sera la seule fois où le titre du tableau et le titre de la nouvelle coïncideront à une nuance près : le C majuscule de Chambre devient minuscule dans la nouvelle ! C’est aussi le seul récit qui ne se divise pas en chapitres mais qui, déjà, prend en compte l’alternance d’un « il » et d’un « elle », comme respiration intérieure du récit.
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