René-Alain Roux est né le 17 août 1947. Saint-cyrien, il commence une carrière militaire, mais son franc-parler l’oblige rapidement à rendre ses galons. Il entreprend alors des études de médecine qui lui permettront d’exercer la médecine générale pendant quarante ans, ses loisirs se partageant entre la boxe et le jazz, auxquels s’ajoute un temps pour l’écriture. Ces deux carrières successives ont été pour lui des postes d’observation privilégiés de la splendeur et de la misère des hommes. En ce sens, ses livres sont des témoignages implacables et irréfragables de l’âme humaine. Ce Penser autrement… et ne plus bêler avec le troupeau continue avec humour et justesse à nous faire connaître un observateur à l’esprit libre et au coeur proche des gens.
Les propos d’André Suarès que nous mettons en exergue de notre site lui correspond tout à fait. Les voici : « Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera, moins l’esprit. Cette loi est celle du troupeau »
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Chantal Roux est née le 19 Juin 1953 à Chateaubriant. Après une carrière aux côtés de son mari médecin, elle décide de se lancer dans la peinture pour s’évader des codes et explorer de nouveaux horizons par le jeu des couleurs, pour de nouvelles aventures. Ses tableaux sont dominés par les bleus changeants de Noirmoutier qui ont imprégné son enfance.
Du même auteur aux éditions du Petit Véhicule (cliquez sur les titres pour les découvrir)
Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre.
« Il est possible que le livre soit le dernier refuge de l’homme libre. Si l’homme tourne décidément à l’automate, s’il lui arrive de ne plus penser que selon les images toutes faites d’un écran, ce dernier finira par ne plus lire. Toutes sortes de machines suppléeront : il se laissera manier l’esprit par un système de visions parlantes : la couleur, le rythme, le relief, mille moyens de remplacer l’effort et l’attention morte, de combler le vide ou la paresse de la recherche et de l’imagination particulière : tout y sera ,moins l’esprit.
